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Vers la grève du 31 janvier (27 janvier 2023)

Le 23 janvier a été marqué par un niveau et une intensité de mobilisation de la fonction publique cantonale que nous n'avions pas vus depuis plus de 10 ans ! Les signaux sont au vert pour que la journée du 31 s'inscrive dans la même dynamique. Les gymnases sont parmi les lieux les plus en pointe de ce mouvement et ils contribuent ainsi à maintenir une pression déterminante sur le Conseil d'Etat. Merci à toutes celles et à tous ceux qui participent à ce mouvement !

PROGRAMME DU 31 JANVIER (affiche unitaire à placarder largement)

- 14h30: Assemblée générale des grévistes, aula du Collège de Béthusy. Il est très important que chaque lieu de travail envoie dans toute la mesure du possible une délégation à cette assemblée.
- 16h30: rassemblement devant le Grand Conseil pour interpeller les député·es en séance et leur rappeler nos revendications.
- 17h15: rassemblement à la place du Château puis départ de la manifestation en direction du Département des finances à la rue de la Paix.


Les syndicats ont préparé un nouveau courrier au Conseil d’Etat et ils ont également produit un « fact-checking » des propos tenus par les membres du Conseil d’Etat dans la presse durant la semaine écoulée. Ces documents seront mis à disposition sur les sites dès qu’ils seront finalisés.
 
Une mobilisation qui monte ! (20 janvier 2023)
La mobilisation du 23 janvier monte, monte, monte ! Le nombre de gymnases en grève et de grévistes sera supérieur au 13 décembre, à n'en pas douter. Grève il y aura en effet dans les gymnases Auguste Piccard, à Bugnon-Ours, à Bugnon-Sévelin, à Burier, à Beaulieu, à La Cité, à Chamblandes, à Morges, à Nyon, à Provence, à Renens.
Ce lundi de lutte vise à arracher au Conseil d'Etat de véritables négociations en matière d'indexation des salaires de la fonction publique et du secteur parapublic.
Nous ne sommes pas dupes, "l'opération de l'employeur public ne consiste pas seulement à baisser notre salaire réel en réduisant l'indexation mais bien à dégrader en profondeur le modèle salarial qui nous donne des droits en matière d'annuités et d'indexation. Le Conseil d'Etat veut démanteler les automatismes dans le modèle salarial et les soumettre à son pouvoir arbitraire."  (extrait du dernier SUD info).
Nous souhaitons à toutes et tous un excellent 23 janvier  pour les AG de grève, repas en commun, confection de banderoles et pancartes, création de slogans, photos de groupe ou autres actions.  Merci de nous envoyer des nouvelles de vos actions et des photos le cas échéant.
La fin de journée sera également d'une grande importance. Rendez-vous à 17 heures 30 à Saint-François pour un départ en manifestation à 18 heures (Saint-François, Rue de Bourg, rue Caroline, Pont Bessières, Rue Curtat, place de la Cathédrale, rue Cité-Devant, place du Château). A la place du Château, nous déciderons de reconduire ou non la mobilisation le 31 janvier, selon que le Conseil d'Etat aura ouvert ou non de véritables négociations assorties d'une proposition qui constitue au minimum une nette amélioration de sa position actuelle à 1,4%.
Matériel à télécharger : affiche "abolition du mépris de l'employeur"autocollants pour la pleine indexation (à imprimer sur feuille A4, 8 autocollants de 105x74mm par page) et dernières informations sur les sites de SUDAVMGSVMSInstagram : https://www.instagram.com/sud_federation_syndicale/ Facebook : https://fr-fr.facebook.com/sudresiste/
 
Indexation : nouvelle phase de mobilisation (11 janvier 2023)
La mobilisation initiée en 2022 pour l'indexation de nos salaires s'est nettement intensifiée entre le 6 et le 13 décembre. Nous étions 4 fois plus nombreuses et nombreux le 13 décembre dans les rues de Lausanne que le 6 décembre et nous avons été plus de 300 profs de gymnases à arrêter le travail pendant la journée du 13.
Il nous faut maintenant étendre le mouvement pour arracher des négociations au Conseil d'Etat et l'amener à faire une nouvelle proposition d'indexation qui, au minimum, améliore notablement sa décision du 8 décembre. Notre demande reste quant à elle fixée à 5%, pour ne pas perdre de salaire réel.

Unitairement, les syndicats FSF, SSP et SUD appellent à une nouvelle journée de lutte, grève et manifestation le lundi 23 janvier 2023. Un ultimatum a été fixé au Conseil d'Etat pour qu'il ouvre avant le 23 janvier de véritables négociations avec les syndicats et pose sur la table une nouvelle proposition d'indexation qui constitue au minimum une nette amélioration de sa décision communiquée le 8 décembre.

Pour faciliter le travail de mobilisation, les syndicats proposent une résolution unitaire qui peut être reprise et votée sur les lieux de travail. Vous pouvez la télécharger en format Word et y apporter les éléments particuliers nécessaires (lieu de travail, date de l'assemblée du personnel).

Merci à vous toutes et tous de vous réunir en assemblée du personnel sur le lieu de travail, de discuter et adopter cette résolution qui trace le chemin de la lutte en ce début de 2023 : journée de grève et manifestation le lundi 23 janvier et poursuite du mouvement de grève et manifestation le 31 janvier en cas de non réponse ou réponse insuffisante du Conseil d'Etat.

Les résolutions sont à envoyer au Conseil d'Etat par sa présidente à Cette adresse email est protégée contre les robots des spammeurs, vous devez activer Javascript pour la voir. ou via la chancellerie à Cette adresse email est protégée contre les robots des spammeurs, vous devez activer Javascript pour la voir. avec une copie à Cette adresse email est protégée contre les robots des spammeurs, vous devez activer Javascript pour la voir. , Cette adresse email est protégée contre les robots des spammeurs, vous devez activer Javascript pour la voir. et Cette adresse email est protégée contre les robots des spammeurs, vous devez activer Javascript pour la voir. .

Le comité se tient à disposition pour toute question en lien avec la mobilisation en cours. Un document en ligne donne déjà quelques informations pratiques.
 
Pleine indexation : la lutte continue ! (18 et 19 décembre 2022)

 

La mobilisation de mardi 13 décembre a été importante, tant dans la journée qu’en manifestation le soir à Lausanne. La participation dans la rue a été multipliée par 4 par rapport au rassemblement du 6 décembre, malgré des températures négatives et un avis de pluies verglaçantes.

Des débrayages et des grèves ont eu lieu dans un majorité de gymnases et nous avons sans doute dépassé les 300 grévistes dans notre seul "petit" secteur.

Nous n'allons pas nous arrêter en si bon chemin alors que le Conseil d'Etat n'a encore rien cédé.

Notre Fédération syndicale SUD appelle avec la FSF et le SSP à reprendre et étendre la mobilisation dès le début 2023, pour la revalorisation des salaires des secteurs public et parapublic. La FSF, le SSP et SUD se sont mis d'accord sur la poursuite de l'objectif de la pleine indexation et la demande de négociation avec le Conseil d'Etat (voir lettre unitaire). Une journée de mobilisation, luttes et grève est d'ores et déjà fixée au lundi 23 janvier. SUD soutient également les actions qui se poursuivraient encore avant la pause de Noël (grève annoncée aux collèges Isabelle-de-Montolieu lundi 19 et de Béthusy mardi 20 + grève et action à EPSIC jeudi 22).

Nous souhaitons avoir le temps de faire le bilan du 13 et surtout de discuter de la suite dans la perspective de réussir la mobilisation unitaire du 23 janvier 2023. Avec lucidité et détermination mais sans précipitation. Nous allons publier une analyse de SUD Education dès que possible (objectif = dès que possible en ligne et imprimé pour la rentrée) et qui tienne compte des discussions dans les comités et avec nos délégué.e.s.

A lire également, le communiqué de presse unitaire et l'article de la SVMS. A très bientôt !

 

 
Mieux que rien, ce n'est pas assez ! (12 décembre 2022)
Message de mobilisation et d'action envoyé à toutes et tous nos membres le 9 décembre 2022
Hier, jeudi 8 décembre, le Conseil d'Etat a annoncé sa décision de baisser les salaires réels des personnes qui oeuvrent au quotidien à délivrer des prestations de services publics. Comment cela ?
- en utilisant une disposition qui lui permet de ne pas indexer intégralement les salaires alors qu'il en a pleinement les moyens (plus de 5 milliards en caisse) :
- en décidant unilatéralement sans consulter préalablement les syndicats alors qu'il en a l'obligation légale (art.25 LPers) ;
- en indexant les salaires à 1,4% alors que l'inflation réelle est au moins à hauteur des 5% que nous revendiquons ;
Cette perte aura des répercussions immédiates mais également sur la durée de toute la vie au travail ainsi que sur la retraite.
Mais le Conseil d'Etat ne s'arrête pas là : il divise le personnel par le versement d'une prime supplémentaire "à la vie chère" réservée à une minorité de salarié.e.s des secteurs public et parapublic. En effet, une majorité est exclue de cette mesure : l'entier du personnel parapublic - 30'000 personnes - et les classes 11 et plus de l'Etat - 13'000 personnes. Il n'y a donc même rien d'un peu social dans cette décision politique puisque le secteur parapublic  (EMS, CMS, hôpitaux régionaux, social) verse des salaires notablement plus bas qu'à l'Etat. Quant à l'acte vexatoire envers les enseignant.e.s du secondaire et post-obligatoire (classes 11 à 13), il est plus que clair.

On mesure par conséquent la dose de cynisme de la communication électronique adressée hier par le Conseil d'Etat à ses "chères collaboratrices, chers collaborateurs". Une première action immédiate que nous vous proposons est de renvoyer ce message à l'expéditeur. Le message du CE ne permet pas de réponse, il faut donc faire un transfert vers l'adresse du chancelier :  Cette adresse email est protégée contre les robots des spammeurs, vous devez activer Javascript pour la voir. ou Cette adresse email est protégée contre les robots des spammeurs, vous devez activer Javascript pour la voir. tout en ajoutant en rouge, gras, taille 36

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L'EXPEDITEUR : 5% !


Au-delà de cette première action, le mardi 13 décembre, journée de lutte (affiche) :
  • Partout où c’est possible, et comme les salaires ne sont pas indexés suffisamment, indexons les pauses et les récréations !
  • Les arrêts de travail, débrayages ou grève de plus longue durée, sont licites depuis que l'Organe de conciliation à délivré un acte de non-conciliation le 30 novembre.
  • L'indexation des pauses peut se faire en prolongeant la récréation, en commençant les cours en retard ou en les terminant en avance. Partout où nous le pouvons, affichons, si possible de manière visible de l’extérieur, des affichettes « Indexation: 5% » sur les vitres.
  • A 18h, manifestation, départ rue de la Paix à Lausanne devant le Département des Finances.

Recommandations

  • Les heures de grève doivent être annoncées au plus tard 48h après la grève à la Direction. Il n'y a pas d'obligation de s'annoncer en avance car il n'y a pas de service minimum dans l'enseignement post-obligatoire.
  • L'AVMG-SUD paiera à ses membres les heures de grève de mardi prochain qui seraient déduites du salaire.
Restez informé.e.s et téléchargez du matériel en suivant l'actualité sur www.sud-vd.ch

A disposition pour tout complément, nous vous saluons chaleureusement !

Le comité de l'AVMG
 
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